Vallée du carnage

Romain Lucazeau

Et si l’Antiquité ne s’était jamais achevée ?

Et si Orode, Roi des Rois, souverain de la Perse, avait décidé d’envahir la cité libre d’Ecbatane et de menacer l’Occident avec son arsenal nucléaire ?

Et si Carthage, première puissance économique et militaire mondiale, se mobilisait avec ses alliés pour faire plier le tyran avec son arsenal high-tech ?

À quoi ressemblerait cette guerre où n’existerait aucune limite, aucune morale, aucun droit international – rien que la violence tribale et l’horreur des combats ?

Et si ce n’était pas une tragédie grecque, mais un avenir possible, voire une méditation sur l’actualité géopolitique, et derrière elle, sur le mal et la souffrance humaine ?

Couverture Vallée du carnage

Éditions du Seuil – Verso

« Vallée du carnage, sidérante dystopie immersive mêlant l’Antiquité, le roman de guerre, la réécriture de Suréna de Corneille et le grand spectacle de Mad Max. […] Avec Vallée du carnage, ainsi qu’avec Langage Machine, un beau recueil de poèmes qui paraît simultanément, Lucazeau réussit largement son pari. »

LIRE, Louis-Henri de la Rochefoucault

« Impitoyable, Lucazeau frappe notre modernité hautaine à coups de marteau d’airain, et maintes étincelles en jaillissent, qui confirment sa place parmi les maîtres incontestés du genre. »

LIRE (les 100 livres de l’année), Fabrice Colin

« Voici un texte que l’on n’est pas près d’oublier. »

La Tribune Dimanche, Alexis Brocas

« Roman épique autant que philosophique, peinture glaçante d’un monde où le droit et la compassion n’ont pas leur place, Vallée du carnage prouve qu’érudition et fantasy peuvent faire bon ménage. »

Le Parisien Week-end, Hubert Prolongeau

« Un blockbuster ébouriffant qui dissimule à peine un état des lieux géopolitique du monde actuel. Toute ressemblance… »

Technikart, Léonard Desbrières

« Un roman entre philosophie, fresque civilisationnelle et SF militaire. »

Numerama, Marcus Dupont-Besnard

« Un véritable ovnim au milieu d’une SF hexagonale qui se complaî un peu trop dans les combats sociétaux d’arrière-garde. »

L’Incorrect, Marc Obregon

« Dans Vallée du carnage, Lucazeau dénonce avec cynisme le patriarcat guerrier et ses horreurs, mais plus encore l’orgueil des hommes. […] Un roman infernal qui projette une image du pire des mondes possibles. »

Métal Hurlant, Alice Develey

« Une écriture aussi magnifique que magistrale, qui nous confronter à nous-mêmes et rendre ainsi la lecture de son livre obligatoire à quiconque a envie de réfléchir à ce que nous sommes, ce qui est, après tout, le but de la SF. »

Actu SF, Jean-Luc Rivera

« Loin des utopies solaires qui rêvent un futur improbable où l’humanité deviendrait soudain bienveillante, Romain Lucazeau use de l’uchronie pour peindre le cauchemar et rappeler la nature destructrice de la bête qui hante ce monde. […] Romain Lucazeau ose proposer le roman que vous n’avez pas envie de lire. Nous vous le recommandons. »

Bifrost, FeydRautha

« Récit d’anticipation qui secoue les lignes, mélange d’épique et d’uchronie, ce texte d’une écriture aussi tellurique que le sujet abordé se veut une méditation sur l’actualité géopolitique. »

La Provence, Jean-Rémi Barland

« C’est un roman de guerre dur, très très, dur, pour public averti. Mais qui réussira à y entrer en sortira durablement secoué. »

La Marseillaise, Jérémy Noé

« Un roman mêlant uchronie et exercice d’anthropologie politique. »

LH Le Mag, Charles Knappek

« Digne d’une tragédie grecque, le roman est terriblement d’actualité, une anticipation macabre et crédible, une réflexion sur la géopolitique actuelle de notre monde. »

Scifi-Universe, Nathalie Zema

« Les Mille Mondes vous propose un entretien exclusif avec Romain Lucazeau. »

Les Mille Mondes, Morgan Charles

« Uchronie magistrale et d’une extrême brutalité, Vallée du carnage est un exercice audacieux qui fauche le lecteur sans prévenir. »

Just a Word, Nicolas Winter
I
France Culture

« Mauvais genres », François Angelier

I
France Inter

« Ce monde me rend fou », Christophe Bourseiller