Un si long mois de février

Histoire intime de la guerre en ukraine

Clara Marchaud

Clara Marchaud est une toute jeune journaliste envoyée spéciale en Ukraine, un pays qu’elle connaissait déjà avant la guerre. Du jour de l’invasion russe, sa vie et celle de ses amis et de ses connaissances, n’ont plus jamais été les mêmes. Mais nous, que savons-nous de l’existence quotidienne sous les bombes, des perspectives d’avenir qui s’effondrent ? De façon tout d’abord chronologique, des jeunes gens, leurs parents aussi, nous racontent la panique un 24 février 2022, la course vers les caves ou le métro, ce qu’on emporte ou pas avec soi, les sentiments qui vous traversent. Viendront ensuite les questions d’engagement, la perception de l’avenir, la décision parfois de s’installer à l’étranger, mais aussi les moments de joie où tout, un instant, semble revenir à la normale.

À partir de choses simples : comment on dort, on aime, on se lave les dents, comment on marche dans la rue, Clara Marchaud montre une population désormais face à des questions existentielles nouvelles qui sont aussi les plus universelles : vivre dans le chaos, et vivre tout de même.

Couverture Un si long mois de février

Éditions Plein Jour

« Clara Marchaud est envoyée spéciale en Ukraine. Du jour de l’invasion russe, son quotidien, celui de ses amis et confrères, bascule dans l’horreur. C’est la course dans les caves ou le métro au soir du 24 février 2022, avec le sentiment qu’on peut mourir demain. Qu’emporte-t-on dans la fuite ? Que laisse-t-on derrière soi ? Comment l’’estime de soit et le narcissisme restent-ils intacts ? Comment satisfait-on ses besoins primaires, dormir, manger, se doucher, quand on est dans une ville assiégée ? »

Marie-France.fr, Valérie Rodrigue

« Deux ans après le début de l’invasion et dix ans après le début de la guerre, la journaliste fran­çaise Clara Marchaud, correspondante à Kiev pour différents médias, raconte comment les Ukrainiens ont subi le choc de l’inva­sion et comment ils se sont­ adaptés à vivre dans un pays en guerre. »

Le Soir, Philippe de Boecke

« Au travers de ses rencontres, de ses amitiés, Clara Marchaud brosse un portrait poignant d’un peuple auquel un homme, claquemuré dans son Kremlin, refuse tout droit d’exister et de choisir son destin. Quand on referme ce livre, une question affleure : combien d’années, de décennies, faudra-t-il aux Ukrainiens pour panser leurs plaies et vivre enfin ? »

L’Express, Charles Haquet

« Clara Marchaud explore avec sensibilité les dilemmes qui surgissent en temps de conflit : les choix d’engagement, la perspective d’un avenir incertain, la décision difficile de rester ou de partir à l’étranger. »

Émile, Zoé Foures

« Parmi la déferlante des livres traitant, de bien des manières, de la guerre en Ukraine, Un si long mois de février, de Clara Marchaud, se distingue par son ton de vérité. »

Le Télégramme, Stéphane Bugat

« Dans Un si long mois de février, la journaliste Clara Marchaud, qui vit
à Kiev, témoigne des bouleversements quotidiens et intimes des Ukrainiens. »

La Nouvelle République, Ambre Philouze-Rousseau

« Entretien avec Clara Marchaud. »

La Presse du soir.fr, Michel Tagne

« À travers des thèmes universels (amour, hygiène, culpabilité…), la journaliste Clara Marchaud, originaire de Lot-et-Garonne, a choisi de retranscrire le point de vue, tour à tour romantique ou pragmatique, des moins de 30 ans. Comme elle. »

Sud Ouest, Carine Caussieu
I
France Culture

« Cultures Monde », Julie Gacon

I
Podcast Ukraine Crisis Media Center

« L’Ukraine, face à la guerre »

I
RTBF

« Déclic », Eloïse Godeau

TV5 Monde, « Le Journal International », Sophie Roussi
I
Europe 1

« Un livre pour l’été », Stéphane Place

« La journaliste française Clara Marchaud, qui vit dans la banlieue de Kyiv depuis 2021, était en première ligne lors de l’invasion des chars russes en Ukraine, il y a deux ans et demi. Dans Un si long mois de février, elle témoigne des effets de cette guerre dans la vie quotidienne de la population, racontant en quoi elle a modifié ses habitudes et sa façon de considérer tant le présent que le futur. »

L’Appel, Michel Paquot