Tout garder
Carole Allamand
Sélection Prix Médicis essais 2022
Quand sa mère décède subitement, Carole Allamand rentre en Suisse pour s’occuper de ses funérailles. Une longue absence a distendu leurs rapports et plus de dix ans se sont écoulés sans une visite à son domicile. Rien ne l’a préparée à ce qu’elle découvre. Objets et déchets ont envahi tout l’espace, englouti les meubles, retiré aux pièces leur fonctionnalité, confiné sa mère dans moins de cinq mètres carrés. Comment en est-elle arrivée là ?
Quelle signification ces choses ont-elles eue pour elle, et pour ces gens qui ne peuvent s’empêcher de les accumuler ?
Tout garder est une enquête sur le syndrome de Diogène, mal mystérieux et fascinant des sociétés dites avancées. Il est aussi un témoignage intime, un plaidoyer pour les femmes de sa génération, un roman d’amour.
Éditions Anne Carrière
« Un texte d’une netteté surprenante, à l’émotion remarquablement tenue. »
Le Monde des livres, Raphaëlle Leyris
« Un beau portrait, écrit par sa fille, d’une femme née dans les années 30 et dont la vie fut sombre. »
Libération, Virginie Bloch-Lainé
« Carole Allamand démontre avec Tout garder un très grand talent d’écrivaine, en parvenant à sublimer une vie rabougrie jusqu’à la folie : c’est sans doute ce qu’on appelle littérature. »
Causette.fr, Anna Cuxac
« Qu’est-ce qui se cache derrière la syllogomanie ? »
Version Femina, Sophie Carquain
« Un récit déchirant au coeur des tourmentes de l’âme et de la filiation. »
Femme Actuelle, David Lelait-Helo
« Entre récit et essai, ce texte raconte avant tout, avec une sensibilité nourrie de désarroi, la violence inouïe qu’est le deuil d’un parent. »
La Voix du Nord, Hélène Mercier
« Un livre saisissant. »
La Nouvelle République, Ambre Philouze-Rousseau
« Il s’agit, pour Carole Allamand, d’inventorier, de remettre à plat, mais aussi de métamorphoser l’invraisemblable fouillis reçu en héritage. Telle est l’histoire de ce livre, au propre comme au figuré. »
Le Temps, Éléonore Sulser
« Entre le devoir de mémoire et celui de rédemption, entre l’impossible pardon et l’impossibilité de s’excuser, Carole Allamand navigue avec beaucoup de dignité parmi les décombres d’une vie de famille dévastée. »
Le Courrier, Amandine Glevarec
« L’auteure genevoise Carole Allamand signe Tout garder, après avoir dû vider l’appartement familial devenu inhabitable. »
La Tribune de Genève, Benjamin Chaix
« Tenu comme un journal, le livre s’inspire des notes et des photos prises peu après la découverte de l’appartement. Les descriptions des espaces encombrés de l’appartement sont authentiques et le ton alterne entre confidences et enquête sur les origines du syndrome. »
RTS.ch, Anne-Laure Gannac
« Carole Allamand publie Tout garder, un bouleversant portrait de sa mère, une enquête fascintante sur le syndrome de Diogène, et le récit d’une relation mère-fille qui fait exception. »
La Côte, Le Nouvelliste, Arcinfo, Laurence de Coulon
« Carole Allemand relate son expérience genevoise dans Tout garder. »
Bilan.ch, Etienne Dumont
« Un essai bouleversant qui bascule de l’enquête sur une folie vers le portrait d’une mère. »
Actualitté, Lolita Francoeur
RTS
« Vertigo », Anne-Laure Gannac
Léman Bleu
« Journal », Jérémy Seydoux
RTBF
« La Matinale », Michel Dufranne
TMC
« Quotidien », La Brigade spéciale reco du week-end d’Ambre Chalumeau
« Un récit touchant, parfois poignant, sur le dérèglement de notre rapport aux objets et la puissance secrète des liens familiaux. »
Trois couleurs, Bernard Quiriny
France Inter
« La Librairie francophone », Coup de coeur de la Librairie Atmosphère à Genève (20’45)
France Culture
« Un grand livre, indispensable. », Brigitte Giraud dans l’émission Bienvenue au (Book) Club d’Olivia Gesbert, à partir de 18’30
France Bleu Provence
« Les librairies en Provence », Thibaud Gaudry
« Un récit touchant, parfois poignant, sur le dérèglement de notre rapport aux objets et la puissance secrète des liens familiaux. »
3 couleurs, Bernard Quiriny
« Instructif et touchant. »
Femmes d’aujourd’hui, Michel Dufranne
« Carole Allamand fait le récit sidérant des dérangements de sa mère, « gardeuse ». »
Le Maine Libre, Frédérique Bréhaut
« Carole Allamand a couché sur papier le récit d’un trouble qui reste aussi complexe à appréhender pour les proches que pour les professionnels de la santé. »