Staline a bu la mer

Fabien Vinçon

Lauréat Prix du Roman TMV 2023
Lauréat Prix Plumes d’Équnoxe Océarium
Finaliste Prix Cazes 2023
Sélection Prix du Livre Orange 2023
Sélection Prix Ouest-France Étonnants Voyageurs 2023

1948. Joseph Staline lance son grand plan de transformation de la nature. Au crépuscule de son règne, le tyran n’a plus qu’un adversaire à sa mesure : la planète. Il veut la dominer par ses grands travaux. Miné par la maladie, enfermé dans ses forteresses, le petit père de peuples, 70 ans, redoute les complots. D’où vient le vent déchaîné qui le pourchasse ? Sous ses ordres, un jeune ingénieur fanatique reçoit l’ordre de vider une petite mer en plein désert d’Asie centrale. La grandeur de l’URSS a un prix, la folie meurtrière. Envoûtement chamanique, passion amoureuse, Leonid Borisov part pour un grand voyage. Entre fable et réalisme magique, c’est l’histoire d’un des plus grands désastres écologiques du XXe siècle : la disparition de la mer d’Aral.

Couverture Staline a bu la mer

Éditions Anne Carrière

« La plus grande catastophe écologique du XXe siècle. »

Actualitté, Barbara Fasseur

« Quand la science se met au service de l’absurde, c’est diablement fou. »

Avantages, Nathalie Six

« Disparition de la mer d’Aral : un écocide orchestré par l’URSS en Asie centrale. »

Geo.fr, Nastasia Michaels

« Hilarant, inquiétant, nécessaire. »

Historia, Eric Pincas

« Une histoire folle servie par une écriture superbe. »

VSD, François Julien

« Le fantastique guette, l’amour aussi. Mélange détonant. »

Le Soir, Pierre Maury

« Mélangeant habilement les tonalités, Fabien Vinçon livre un récit à la fois truculent et terriblement amer. »

Télé 2 semaines, Camille Brun

« Alternant la poésie et le réalisme, l’auteur retrace les combats intimes d’un jeune ingénieur pétri de foi marxiste, chargé par Staline d’un projet fou : vider la mer d’Aral. Cet ouvrage très réussi tient en haleine le lecteur en le plongeant dans une époque révolue. Il renvoie aussi à notre propre relation à la nature. »

L’Usine nouvelle, Anne-Sophie Bellaiche

« Un roman entre folie et surnaturel, où la nature devient ennemie du peuple. Plus exactement du pouvoir sans limite d’un dictateur sans foi ni loi. »

L’Indépendant, Michel Litout

« Le récit est poétique, envoûtant, fascinant… et inquiétant quant à la folie des hommes. »

Femmes d’aujourd’hui, Michel Dufranne

« Un livre qui vous emporte et vous interpelle fortement. »

Le Populaire du centre, Muriel Mingau

« Le passionnant récit d’une irréversible catastrophe écologique, sous l’angle du réalisme magique. »

La Nouvelle République du centre, Pascale Fauriaux

« II y a du réalisme, il y a de la fable, il y a de la fiction, mais pas que. Les frontières sont toujours floues et Staline a bu la mer raconte in fine l’une des plus grandes catastrophes écologiques du XXe siècle. »

TMV, Aurélien Germain

« Aral asséchée, entre farce et tragédie. »

Culture-Tops, Bertrand Devevey
I
RFI

« Vous m’en direz des nouvelles », Jean-François Cadet

I
France Inter

« Chroniques littorales », José-manuel Lamarque

LH Le Mag, Sean Rose