Querelle

Kevin Lambert

Prix Sade 2019

Finaliste prix littéraire du Monde
Finaliste prix Wepler
Sélection prix Médicis
Mention spéciale du jury du Prix du deuxième roman Alain Spiess

Une grève éclate dans une scierie du Lac Saint-Jean, dans le Nord canadien. Derrière une apparente solidarité ouvrière, l’ennui et la dureté de la lutte, que seules rompent les nuits dans les bowlings et karaokés, révèlent les intérêts plus personnels de chacun.
Parmi ces ouvriers, il y a Querelle, magnifique colosse venu de la capitale, et Jézabel, issue d’une lignée rebelle de mère en fille. Doux et charnels, ces héros incarnent la liberté, la jouissance et la joie sauvages, hors des lois du marché et de l’aliénation familiale ou sexuelle.
Au gré des sabotages, des duels et des ivresses, la colère s’empare des grévistes et les événements se conjuguent dans un conflit généralisé aux allures de vengeance sociale.

Querelle

Éditions Le Nouvel Attila

« Dans cette “fiction syndicale”, Kevin Lambert réussit avec brio cette hybridation de naturalisme ironique façon Bégaudeau et de lyrisme cru dans la veine Eden, Eden, Eden de Guyotat. »

Livres Hebdo, Sean James Rose

« Un récit magistral, construit comme une tragédie grecque riche de lyrisme et de poésie. Le puissant roman (noir) de notre époque ! »

Télérama, Stéphane Ehles

« Un des charmes de Querelle est de maintenir une drôle de parité entre le social et le sexuel, de même que la présence dominante d’un homosexuel ne disqualifie pas celle entre féminin et masculin, quoiqu’elle puisse prendre des formes aussi regrettables qu’originales après une baston entre grévistes et casseurs de grève. »

Libération, Mathieu Lindon

« Querelle est un objet littéraire d’une grande rareté. »

En attendant Nadeau, Ulysse Baratin

« Querelle expose un conflit où l’être se soulève contre une puissance qui commande ses destins. C’est d’abord une violence économique et sociale que met en scène le roman. Portés par l’énergie du désespoir, les travailleurs et travailleuses deviendront aussi terribles que leurs sentiments d’exclusion, d’injustice et d’impuissance. »

Le Nouveau Magazine littéraire, propos recueillis par Camille-Élise Chuquet

« À pleurer de tendresse et de cruauté. »

Le Monde des Livres, Jean Birnbaum

« On aurait affaire à un prodige. […] Le texte impressionne par la qualité d’une prose pourtant si jeune. »

Têtu, Guillaume Perilhou

« Roman queer et politique, infusé d’un désir maintenu jusqu’à la lie(sse) et d’une tendresse jusqu’au-boutiste, Querelle secoue avec panache les bases du vieux monde. »

Le Focus Vif, Anne-Lise Remacle

« Le Virginie Despentes du Québec. »

FranceTV info, « L’invité culture », Yousef Bouchikhi

« C’est aussi sauvage que sublime. Vous ne mesurez pas à quel point c’est chaud. »

Canal +, « 21 cm de + », Augustin Trapenard

« Kevin Lambert ne manque ni d’audace, ni de culot. »

Technikart, Baptiste Liger

« Un livre féroce, tonique, explosif. »

Le Point, Sophie Pujas

« Kevin Lambert construit un récit inattendu, mêlant deux romans qui en général ne se rencontrent pas, l’érotique homosexuel et l’ouvrier. Le résultat est étonnant de naturel et d’efficacité. »

L’Humanité, Alain Nicolas

« Prolétaires de tous les pays, enfilez-vous ! »

L’Obs, Elisabeth Philippe

« Kevin Lambert poursuit joyeusement, et avec une gande maîtrise, son projet de dynamitage des conventions, sociales et littéraires. »

Le Temps, Antoine Bal
TV5 Monde, « 64′, Le Monde en français », Xavier Lambrechts
I
France Culture

« Par les temps qui courent », Marie Richeux

I
RTBF, La 1ère

« Dans quel monde on vit », Pascal Claude

I
France Culture

« La Suite dans les idées », Sylvain Bourmeau

I
RFI

« Littérature sans frontières », Catherine Fruchon-Toussaint