Que notre joie demeure
Kevin Lambert
Lauréat Prix Médicis 2023
Lauréat Prix Décembre 2023
Lauréat Prix de la page 111
Finaliste Prix Blù – Jean-Marc Roberts 2023
Première sélection Prix Goncourt
Sélection Prix Goncourt des Lycéens 2023
Sélection Prix Goncourt des Détenus 2023
Sélection Prix Pantagruel 2023
Architecte millionnaire partie de rien, Céline Wachowski a sa série sur Netflix, un carnet d’adresses avec le tout Hollywood et des contrats dans le monde entier. Égérie de la modernité, elle est convaincue d’apporter de la beauté au monde.
Mais son projet le plus ambitieux est stoppé net par une polémique : accusée de favoriser la gentrification à travers ses chantiers, elle voit remise en cause toute sa stratégie, mais aussi ses méthodes de travail. Elle est renvoyée de sa propre entreprise en quelques jours.
Quand l’élite perd pied, comment se réinvente-t-elle pour justifier ses privilèges et asseoir sa place dans un monde dont elle a elle-même établi les règles ?
Que notre joie demeure est une fresque sociale et morale explosive, aussi généreuse avec ses personnages que lucide avec son époque.
Le Nouvel Attila
« La bourrasque qui souffle sur le troisième roman de Kevin Lambert emporte tout sur son passage. »
Le Monde des livres, Juliette Einhorn
« Kevin Lambert confirme ici son talent pour la fresque sociale. Son tableau est sans doute moins explosif et transgressif que dans ses précédents romans, ses mitraillages plutôt jouissifs contre l’ordre économique néolibéral et l’ordre social hétéronormé. »
Télérama, Stéphane Ehles
« Le portrait : Kevin Lambert, gagnant sensible. En réalisant un doublé avec les prix Médicis et Décembre, l’auteur québécois de 31 ans s’affirme comme une des sensations littéraires de l’année. »
Libération, Adrien Naselli
« Les riches heures de Kevin Lambert. »
Libération, Mathieu Lindon
« D’une écriture ample, soyeuse, Kevin Lambert peint une fresque à la fois éclatante et cruelle. »
L’Obs, Elisabeth Philippe
« Kevin Lambert fait penser à un jeune Balzac ayant l’accent de Xavier Dolan. »
Le Point.fr, Claude Arnaud
« Le roman de Lambert, c’est une histoire de badaboum. À travers cette Céline vilipendée, pour « la dimension capitaliste de son idéologie, accusée d’œuvrer à la gentrification urbaine, il excelle à raconter le renversement soudain d’une réputation, la survenue du désordre dans une classe sociale qui se croit à l’abri des tempêtes. »
Le Matricule des Anges, Anthony Dufraisse
« D’une écriture immersive, Kevin Lambert, finaliste des prix Médicis et Décembre, nous fait pénétrer dans les secrets bien gardés de la classe dominante. »
Franceinfo Culture, Laurence Houot
« Ce récit est un outil formidable pour comprendre notre monde et nos modes de fonctionnement. »
20 Minutes, Christian Dorsan
« Le troisième roman de l’excellent écrivain québécois Kevin Lambert paraît en France. Le livre, en offrant le portrait d’une « starchitecte », fait éclater la violence politique et économique de notre monde. »
Mediapart, Lise Wajeman
« Littérature : ce que valent les prix. »
Médiapart, Blandine Rinkel
« Dans un roman très politique, Kevin Lambert raconte comment la classe sociale des plus privilégiés tente tout pour protéger ses intérêts. »
Politis, Christophe Kantcheff
« Une « starchitect » progressiste devient, à cause d’un article sanglant dans le New Yorker et à l’âge de soixante-dix ans, le symbole de la gentrification bobo-capitaliste. »
AOC, Éric Loret
« Kevin Lambert est un passionnant confectionneur de personnages contemporains. Le tour de main est impressionnant (…) Il est trop écrivain, trop lecteur de Genet, pour laisser des questions extra-romanesques commander son récit. Plusieurs scènes font apparaître sous un jour déplaisant ses personnages, qu’ils soient noirs, femmes ou gays. Allons même plus loin : Lambert ne recherche le crédible que pour être plus cruel avec eux. De là l’étonnante justesse de son roman. »
En Attendant Nadeau, Ulysse Baratin
« La phrase construit son héroïne, fluide, spiralante, envoûtante dans son ascension comme dans sa chute. »
L’Humanité, Alain Nicolas
« Voici un livre dur et puissant, d’une densité stupéfiante, qui ne fait de cadeau à personne. Si Kevin Lambert nous coupe le souffle, ce n’est pas uniquement par ses longues phrases savamment agencées, mais aussi par son regard ironique et attentif sur ceux (et ici sur celle) qui décident quotidiennement du sort du reste du monde. »
Slate, Thomas Messias
« Moins enflammé, plus cynique et plus clinique, Kevin Lambert poursuit son récit implacable sur la violence des rapports de classe, mais se place de l’autre côté de l’échiquier social. Et dépeint, avec cruauté, les errances d’une caste qui ne parvient plus à justifier les privilèges qu’elle a accaparés. »
Le Parisien week-end, Léonard Desbrières
« Avec un style dense qui colle avec lucidité à notre époque, le jeune auteur québécois propose une réflexion intéressante sur le capitalisme et la fracture sociale. Puissant. »
Version Femina, Héloïse Rocca
« S’il avait fallu décerner le Goncourt à celui qui manie le mieux la langue, c’est peut-être Kevin Lambert qui aurait gagné. Dans Que notre joie demeure, la virgule tient un rôle proéminent, comme si elle en était le personnage principal ; tordant les phrases jusqu’à en faire des paragraphes, l’auteur temporise, sans musarder pour autant, n’en oubliant pas qu’il n’est d’exercice de style sans sujet captivant. »
Madame Figaro, Gaspard Couderc
« Un roman passionnant. »
Biba, Samuel Loutaty
« Kevin Lambert analyse chirurgicalement, incisivement, la psychologie et la sociologie de ses personnages. »
Marie-Claire.fr, Juliette Hochberg
« Peinture féroce du capitalisme, du microcosme dans lequel se meuvent les ultra-riches et leur bonne conscience, les pages, dédiées à l’architecture et à La Recherche du temps perdu sont brillantes. »
Femme Actuelle, Cécile Pivot
« Évidemment, il ne voulait pas y croire : deux prix, en moins de dix jours, à 31 ans à peine. »
Point de vue, Pauline Sommelet
« Dans son dernier roman, Que notre joie demeure, l’écrivain queer Kevin Lambert fait souffler un vent mauvais dans une scène d’introduction ébouriffante, un morceau de bravoure dans lequel il nous rappelle l’impétuosité de son style. »
Têtu.com, Stéphanie Gatignol
« À travers la descente aux enfers de son personnage, Kevin Lambert interroge
la place des élites, et leurs fonctionnements pour se maintenir au sommet. »
Têtu, Morgan Crochet
« Caustique, intelligent. Proustien diront les fans. »
Le Pèlerin, Muriel Fauriat
« Que notre joie demeure est un tourbillon. »
Le Soir, Pierre Maury
« Une prose étourdissante. »
Le Vif, Marcel Ramirez
« Un roman très dense construit en longues
phrasees superbement rythmées. »
L’Avenir, Michel Paquot
« un roman au souffle impressionnant. »
RTS, Nicolas Julliard
« Dans une langue pailletée de tournures québecoises, l’auteur compose une satire mordante. »
Télé Loisirs, Camille Brun
« Dans une langue pailletée de tournures québecoises, l’auteur compose une satire mordante. »
Télé 2 semaines, Camille Brun
« Un style flamboyant. Un roman ambitieux et passionnant. »
Management, Samuel Loutaty
« Kevin Lambert est un écrivain québecois qui aborde le thème des luttes sociales. »
La Fringale culturelle, Christophe Mangelle
« Entrez dans les pensées d’une élite déconnectée au cœur de ce roman à suspense. »
Revue Urbanisme, Maider Darricau
« Kevin Lambert : l’architecture, 1er art et miroir de l’époque. »
Actualitté, Hocine Bouhadjera
France 5
« La Grande Librairie », Augustin Trapenard
France Culture
« Le Book Club », Marie Richeux
France Culture
« Les Midis de Culture », Lucile Commeaux / Antoine Leiris
France Culture
« La Suite dans les idées », Sylvain Bourmeau
France Inter
« Jusqu’ici tout va bien », Marie Misset, Maïa Mazaurette, Marine Baousson
France Inter
« Nouvelles Têtes », Mathilde Serrell
RFI
« De vive(s) voix », Pascal Paradou
Louise Media
« Podcast Pépites », Agathe Le Taillandier et Sébastien Thème
Son livre, un podcast du CNL
« #12 avec Kevin Lambert et Héloïse Esquié », Pauline Carayon