Les Caractériels

Martial Cavatz

Sélection Prix Stanislas 2024

Naître dans un quartier populaire au sein d’une famille dysfonctionnelle tout en étant malvoyant, on pourrait se dire que ce n’est pas gagné… À moins que les problèmes ne s’additionnent pas et que la déficience visuelle ne soit finalement une chance : une soustraction des emmerdements…
Ce n’est pas la moindre des découvertes que l’on fera en lisant ce roman, qui débute dans une cité bisontine, en passant par un institut pour enfants caractériels, et un établissement pour malvoyants et non-voyants. L’information essentielle étant toutefois que les aveugles peuvent faire du vélo tout seuls dans la cour de leur école sans se rentrer dedans.

Couverture Les Caractériels

Alma Éditeur

« On peut rêver de débuts dans l’existence plus avantageux, mais l’écrivain ne trempe pas sa plume dans le misérabilisme ni dans le pathos. A l’inverse, c’est avec un humour salvateur, parfois grinçant, parfois noir, qu’il décrit une humanité en souffrance. […] Il y a mille bonheurs de lecture dans ce petit livre composé de tranches de vie, de portraits à la pointe sèche, de scènes pleines de relief, entre âpreté et tendresse. »

Le Figaro littéraire, Christian Authier

« Evitant aussi bien l’écueil du misérabilisme que celui de la glorification d’un parcours déjouant tous les pronostics, Martial Cavatz laisse entendre une voix joyeuse et lucide dont on attend avec curiosité qu’elle nous livre la suite de ses aventures. »

Le Monde des livres, Florence Bouchy

« Un roman autobiographique empreint d’humour, de lucidité, de candeur et de sincérité. »

L’Express, Delphine Peras

« Un premier roman qui vibre d’une colère nourrie contre l’injustice sociale. »

L’Obs, Véronique Cassarin-Grand

« À la croisée du point de vue de l’enfant et du regard rétrospectif de l’adulte, Les Caractériels saisissent par un ton neuf, mélange de satire, de lucidité et de tendresse sur cette famille qu’on appellerait aujourd’hui dysfonctionnelle. »

L’Humanité, Sophie Joubert

« La plume d’écrivain de Martial Cavatz – car c’en est un – nous offre un beau roman de l’enfance. »

La Tribune, Anne-Laure Walter

« Corrosif et touchant. »

Avantages, Isabelle Bourgeois

« L’écriture de Martial Cavatz restitue la condition sociale avec fraîcheur et cette profondeur de champ que permet la maturité. »

LH Le Mag, Sean Rose

« Un roman parfaitement réussi. »

Marianne, Jérôme Leroy

« Un roman cash « sans populisme, ni misérabilisme ». »

L’Est Républicain, Frédéric Jimenez

« Une entrée en matière réussie. »

Novo, Aurélie Vautrin

« À découvrir absolument. »

L’Est Éclair, Jean-Philippe Blondel

« À la lecture de ce parcours chaotique, violent, souvent drôle malgré tout, on pense parfois à Paracuellos (Giménez) et à L’Institution (Binet), mais Cavatz fait encore plus fort : sans pathos embarrassant, ni angélisme niais. il nous réconcilie (un peu) »

Fluide Glacial, Pascal Fioretto

« Les courts chapitres se lisent comme on parcourrait les cases d’une bande dessinée, le décor rapidement planté, l’événement dépeint… »

DIversions, Dominique Demangeot

« Entretien. »

La Presse du soir, Michel Tagne Foko

« Sans misérabilisme, au contraire avec humour et parfois ironie, Martial Cavatz retrace un parcours difficile, dont l’issue aurait pu être tout autre.  »

Besançon Votre Ville
I
RTS

« Vertigo », Anne-Laure Gannac

I
RCF

« De page en page », Yves Renoux

France 3 Bourgogne-France-Comté

« ICI 12/13 » à partir de 11 min 20

« Tout est décrit avec un humour sauvage : les barres d’immeubles, les gens qui les peuplent, les profs, les institutions, les gamins, leurs conneries et leurs rêves. C’est précis, tendre aussi. »

Siné mensuel, Véronique Brocard

« Un petit bijou.»

Mediapart, Yves Faucoup

« Un ton juste, du laisser aller, un flot langagier limpide, […] et nous voilà embarqués. »

Lundimatin, Serge Quadruppani