Le rapport chinois
Pierre Darkanian
Prix Transfuge du premier roman 2021
Prix du premier roman Les écrivains chez Gonzague Saint-Bris 2021
Prix spécial Charles Aznavour 2021
Prix Premier roman Rotary Club Cosne-Sancerre 2022
Sélection Prix Stanislas 2021
Sélection Prix Renaudot 2021
Sélection Prix Renaudot des Lycéens 2021
Seconde sélection Prix Cheval Blanc 2021
Sélection Prix Maison Rouge 2021
Sélection Trophées littéraires des Nouvelles d’Arménie Magazine
Finaliste Prix Première 2022
Sélection Prix René Fallet 2022
Sélection Prix littéraire de l’ENS Paris-Saclay 2022
Une rumeur circule dans les cercles de pouvoir. Elle concerne un épais dossier intitulé Le Rapport Chinois. On dit que sa lecture rend fou. Pour certains, ce rapport à quelque chose à voir avec les cartels de la drogue. Pour d’autres il s’agit du manifeste d’un complot mondial. Quelques-uns en parlent comme d’un texte visionnaire.
On s’accorde en tout cas sur l’identité de son rédacteur : Tugdual Laugier. Mais là-aussi le mystère reste entier… Est-ce le nom d’un imposteur surdoué, d’un prophète ou d’un parfait imbécile ?
Quand la société des Hommes devient une farce, la vérité a besoin d’un bouffon. Le premier roman de Pierre Darkanian est une corde de funambule tendue entre le vide de l’existence et l’absurdité du monde moderne. On y danse, trébuche et progresse derrière Tugdual, aussi inoubliable que Falstaff ou Ignatius Reilly, d’une falaise à l’autre, d’un rire féroce à une troublante mélancolie.
Éditions Anne Carrière
LH Le Mag, Sean James Rose
« C’est extrêmement drôle, c’est insolent. »
France 3 Bourgogne-Franche-Comté, « L’Avant JT », coup de coeur de Bruno de la Librairie Reservoir Books à Besançon
« Le réel crée-t-il la fiction ou la fiction le réel ? La fiction est-elle une évasion ou une prison ? Le trop-plein de la fiction se déverse-t-il dans le vide du réel ou le trop-plein du réel dans le vide de la fiction ? Deux romans français paraissant chez le même éditeur manifestent que ce ne sont pas des questions théoriques mais fictionnelles. »
Libération, Mathieu Lindon
« Dans ce surprenant roman – qui restitue avec une jubilation ventriloque les langues de bois, jargons et tics de langage de l’entreprise -, l’énergie burlesque est le moteur de l’exploration d’un capitalisme en décomposition. »
Philosophie Magazine, Philippe Garnier
« On est quelque part entre le monde absurde de Kafka et Le dîner de cons de Francis Veber. »
L’Usine nouvelle, Christophe Bys
« Drôle, sacrément enlevé, rythmé, truffé de détails qui tuent, ce premier roman aux allures de thriller absurdo-prosaique est une pépite absolue. Un récit pétaradant qui se déguste de bout en bout. »
Paris Match Belgique, Emmanuelle Jowa
« Shootez-vous à ces lignes désopilantes, écrites par un esprit farceur. »
Voici, Ariane Valadie
« Le premier roman de Pierre Darkanian nous immerge dans un monde où l’absurde sert une critique tragi-comique de la finance et de sa cupidité. »
La Semaine, Béatrice Hamet
« Le Rapport chinois de Pierre Darkanian est l’œuvre d’un écrivain prometteur qui balade avec talent son lecteur, entre rire rabelaisien et larmes bibliques. Et dont il faut assurément guetter les publications à venir. »
Causeur.fr, Samuel Bon
France Culture
« La suite dans les idées », Sylvain Bourmeau
France Culture
« Affinités culturelles », Oriane Jeancourt : « Le roman le plus drôle de la rentrée. » (à partir de 52′)
France Culture
« Soft Power », Frédéric Martel. « Pour moi, c’est La conjuration des imbéciles de la littérature française aujourd’hui… Le livre de Darkanian est un des grands livres de l’année. » Bernard Blistène
RTBF
« Majuscules », Eddy Caekelberghs (à partir de 31’30″)
RTBF
« Le Mug », « Une plongée en absurdie. »
RTS
« Vertigo », « C’est drôle, burlesque et terrifiant. » Anne-Laure Gannac
RCF
« Lauréat du Prix spécial Charles Aznavour », Richard Findykian
France 3 Nouvelle-Aquitaine
« Paroles de lycéens Prix Renaudot »
« C’est le livre le plus hilarant de la sélection et aussi l’un des plus originaux : Le rapport chinois, un premier roman, adopte le ton de la satire pour dire la vacuité et l’absurdité du monde de la finance. »
France 3 Nouvelle-Aquitaine
« Aussi convient-il de décerner, en cette rentrée, le grand prix de l’humour à ce récit. […] Le Rapport chinois est un sommet d’absurdité qui ridiculise l’esprit de sérieux. Bouvard et Pécuchet égarés dans la mondialisation. Et c’est fort réussi. »
Le Monde des Livres, Macha Séry
« Sans conteste le roman le plus comique de cette rentrée. À lire absolument. Une brillante entrée en littérature. »
Transfuge, Éric Naulleau
« La rentrée littéraire a un beau cadeau pour vous. […] D’une plume alerte et élégante, Pierre Darkanian raconte l’absurdité du monde du travail et nos solitudes contemporaines. »
ELLE, Alix Girod de l’Ain
« Pierre Darkanian tisse la trame d’un premier roman plutôt piquant dans sa satire du monde de finance. »
Télérama, Stéphane Ehles
« La friandise de cette rentrée littéraire. »
Le Point, Sophie Pujas
« Le monde loufoque de Tugdual Laugier est un ovni bienvenu dans la rentrée littéraire. »
La Croix, Stéphanie Janicot
« Le Rapport chinois, premier roman de Pierre Darkanian, fait des personnages de l’histoire les véritables avocats de la fin de la littérature. Quand le cinéma, la BD, le roman font cause commune. »
Non-fiction,fr, Maryse Emel
« Pierre Darkanian fait preuve d’un réel talent. Son livre est un exercice de style brillant et drôle sur la mise en équation du vide. »
En Attendant Nadeau, Anne Leclerc
« Un livre à faire lire d’urgence. »
Lire-Le Magazine littéraire, Louis-Henri de la Rochefoucault
« Un premier roman décapant. »
Femme Actuelle, Marc Gadmer
« Aux premières loges, l’une des sourdines de la rentrée : le rire qui fait une entrée fracassante. »
VSD, François Julien
« Une histoire aussi inquiétante que drôlatique. »
Marie-Claire, Gilles Chenaille
« À la fin du roman, on est hilares comme si on avait abusé de la bière chinoise. »
Marie-France.fr, Valérie Rodrigue
« Le petit ovni de la rentrée : c’est décalé, drôle, loufoque. »
Marie-France, Clémence Roux
« Un premier roman réussi. »
Télé Loisirs, Corinne Calmet
« Un premier roman à mourir de rire. »
24 Heures, Cécile Lecoultre
« Un premier roman follement original, loufoque, et servi par une écriture éblouissant. »
Notre Temps, Stéphanie Janicot
« Une satire moderne de la vie professionnelle. »
Le Matricule des Anges, Éric Dussert
« L’un des romans les plus réjouissants de cette rentrée. »
Le Vif/L’Express, François Perrin
« Un premier roman frénétique. »
L’Incorrect, Bernard Quiriny
« Un premier roman hilarant […] bien plus profond qu’il n’y parait, avec en filigrane tout une conception de notre époque. »
Christophe Mangelle, La Fringale culturelle
« Interview : Beckett croie Rabelais en entreprise. »
Babelio, Nicolas Hecht
« Bonnes feuilles : Le Rapport chinois de Pierre Darkanian : Un grand et beau fou. »