Le jour où j’ai tué mon père
QUand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs
Serge Tisseron
En feuilletant un vieil album de famille, Serge Tisseron s’étonne de ne pas y trouver une photographie dont il garde un souvenir précis. Il la dessine, puis la recrée avec l’aide de l’IA. Mais quelques semaines plus tard, la découverte fortuite de l’original révèle une image bien différente !
Ainsi débute une véritable enquête policière sur le fonctionnement de la mémoire, mais aussi sur le pouvoir qu’auront bientôt les IA d’objectiver nos souvenirs les plus intimes dans des photographies bien réelles. Comment vivrons nous cette situation ?
Éditions lamaindonne
« Serge Tisseron propose […] au lecteur une enquête sur les différences entre […] deux images, mais aussi sur le fonctionnement futur de la mémoire humaine, dès lors que l’IA pourra inventer des souvenirs dont la trace n’existe plus. »
Le Monde des livres, Elisabeth Roudinesco
« On a affaire à une expérience a priori anecdotique mais qui ouvre un immense champ d’interrogations sur ce que nous ferons de cette possibilité de projeter nos rêves sur une image. »
Libération, Frédérique Roussel
« Un texte qui fait mouche, agrémenté de nombreuses photos de famille. »
Psychologies, Ariane Bois
« Un excellent essai. »
La Libre Belgique, Jean-Marc Bodson
« Au-delà d’une quête sur le fonctionnement de la mémoire, ce livre témoigne de la manière nouvelle dont l’IA peut interférer avec notre passé en nous permettant de créer des images fidèles à nos souvenirs, plutôt qu’aux faits. »
PhotoTrend, Justine Grosset
« Serge Tisseron entame une réflexion passionnante sur la teneur de nos imaginaires ainsi que sur le rôle de l’intelligence artificielle censée devenir garante de la préservation de nos souvenirs mais risquant à tout moment d’interférer quant à la représentation de faits du passé par souci de rester justement fidèle à notre mémoire, tantôt volatile, tantôt orientée. »
Compétence photo
« S’ouvre alors une nouvelle porte : quelle est la véritable histoire derrière ces photos ? Quels éventuels non-dits renferment-elles ? »
La Vie, Frédéric Théobald
« La confrontation avec l’image artificielle relance une réflexion non seulemen sur l’IA, mais aussi sur la construction et l’altération du souvenir, et l’émergence d’un nouvel imaginaire. »
Sciences et Avenir, Arnaud Devillard
« Intelligence Artificielle, fabrique de souvenirs, par Serge Tisseron, psychiatre, essayiste. »
Le Blog de Fabien Ribery, Fabien Ribery
« Dans son nouveau livre Le jour où j’ai tué mon frère, le psychiatre Serge Tisseron partage quelques réflexions sur le futur de l’intelligence artificielle et de la photographie. »
Usbek & Rica, Blaise Mao
« Entre reconstruction et falsification, le psychiatre décrypte les risques qu’elle fait peser sur notre mémoire, individuelle et collective. »
01net, Jean-Marie Portal
« C’est très érudit, ça se lit avec beaucoup d’intérêt et il faut se laisser porter par le discours pour en savourer tout l’à propos et la richesse de l’analyse. Le livre ouvre de nombreuses et nécessaires pistes de réflexion à un moment où, la technologie bousculant notre compréhension du réel et offrant autant d’opportunités qu’elle présente de dangers, il est grand temps de réfléchir à toutes les conséquences que cela aura sur nos vies. »
L’Oeil de l’Info, Gilles Courtinat
« Serge Tisseron mène une réflexion innovante sur notre rapport à l’intelligence artificielle dans le domaine des images […] Édifiant. »
Blog des Inrocks, Renaud Monfourny
« Comme toute bonne intrigue policière, Le jour où j’ai tué mon frère n’apporte pas de réponse univoque, il met en alerte le regard et la construction de la mémoire intime. Le livre fermé, nous ne regardons plus les albums et les photos de famille de la même façon. »
La Critique.org, Jean-Marie Baldner
« Serge Tisseron : « croiser des questions de mémoire, de photographie et d’IA ». »
Archimag, Casimir
« Un livre qu’on croit d’abord distrayant et dont on ressort pensif. »
Blog Lunettes rouges sur l’art, Marclenot
« Et si l’IA pouvait recréer nos souvenirs d’enfance ? C’est la question que soulève le psychiatre Serge Tisseron dans un essai né de la perte d’une photographie de famille. »
The Art Newspaper, Zoé Isle de Beauchaine
France Inter
« Zoom zoom zen », Matthieu Noël
Radio Campus PARIS
« NumerX», Christophe Bys