Le Dernier Étage du Monde
Bruno Markov
Lauréat Prix Edmée de la Rochefoucault
Finaliste Prix Première 2024
Finaliste Prix de l’Entreprise et du Travail
Première sélection Prix Françoise Sagan 2024
Première sélection Prix de la Tribune 2024
L’art de la guerre consiste à soumettre son adversaire sans le combattre. C’est ainsi que le père de Victor Laplace s’est fait détruire. C’est ainsi que le jeune Victor espère venger sa mémoire, en s’infiltrant au cœur même du système qui l’a brisé. Sa stratégie est claire : se faire embaucher dans le prestigieux cabinet de conseil que dirige son ennemi, l’approcher pas à pas, l’écouter patiemment dévoiler la recette de ses triomphes, l’accompagner dans son ascension en attendant l’ouverture, la brèche où il pourra s’engouffrer. Une partie d’échecs pour laquelle l’apprenti possède une arme décisive : sa maîtrise des algorithmes et de l’intelligence artificielle. Car à l’heure où le succès ne répond plus au mérite ou à l’intelligence, mais à d’autres règles sociales qu’on peut traduire en équations, celui qui sait les déchiffrer peut à tout moment renverser le jeu en sa faveur. Mais à quoi devra renoncer Victor Laplace pour parvenir au dernier étage du monde ?
Dans une variation sur le thème des Illusions perdues, teintée d’un esthétisme à la Tom Wolfe, Bruno Markov réinvente le mythe de la réussite individuelle à l’heure des nouvelles technologies. Captivant, émouvant et subversif, Le Dernier Étage du monde offre un grand huit romanesque qui s’empare des questions éthiques les plus brûlantes autour de l’intelligence artificielle et de l’économie de l’attention.
Éditions Anne Carrière
« Sur près de 500 pages captivantes, riches de personnages complexes et de dialogues mordants, le roman nous plonge dans l’univers d’une hyperclasse dont il saisit la langue. »
Le Figaro littéraire, Christian Authier
« Un premier roman très prenant. […] Le texte se distingue par la justesse avec laquelle il attrape son sujet et évoque les enjeux afférents qui colonisent aujourd’hui une partie du débat public : date science, intelligence artificielle, réalité virtuelle, etc. »
Libération, Jérôme Leffiliâtre
« Ce roman implacable est le meilleur récit sur l’IA de la rentrée. »
Usbek & Rica, Pablo Maillé
« Se venger quitte à y perdre son âme ? C’est un Hamlet version consulting que nous propose Bruno Markov, terriblement instructif et addictif. To be or not to be a winner; that is the question ! »
Le Canard enchaîné, Nathalie Peyrebonne
« Voilà un premier roman qui nous épate à tous les étages. »
Le Parisien Week-end, Pierre Vavasseur
« Quelque part entre les lllusions perdues et Le Bûcher des vanités (Tom Wolfe), Markov réinvente le récit d’apprentissage et déboulonne le mythe de la réussite individuelle. Glaçant. »
La Vie, Anne Berthod
« Le roman se lit comme un thriller incandescent. »
Franceinfo Culture, Mohamed Berkani
« Un premier roman haletant, […] enlevé, dense, trépidant. »
Paris Match Belgique, Emmanuelle Jowa
« Très efficace grâce à sa mécanique imparable de récit d’ascension, façon Illusions perdues, ce roman est un véritable page-turner, rythmé, bien construit, bien documenté. »
L’Opinion indépendante, Bernard Quiriny
« Un roman dont chaque page met à nu la société et l’intimité. »
Le Populaire du centre, Simon Antony
« Un premier roman irrésistible. »
LH le Mag, Sean Rose
« Un roman qu’on a peine à lâcher. »
Management, Samuel Loutaty
« Porté par un souffle romanesque éminemment anglo-saxon, Bruno Markov immerge son lecteur dans les arcanes du capitalisme contemporain, évoquant Tom Wolfe. »
Valeurs Actuelles, Alfred Lévy
« Un roman brillant : tout y est, un environnement plus vrai que nature, des personnages forts et ambivalents, une vraie intrigue à étages, et une écriture vive et puissante. […] Pour son premier roman, Bruno Markov réussit un coup de maître, avec ce roman sacrément prenant, écrit à la perfection. Un coup de foudre littéraire, électrisant au possible. »
Emotions, blog littéraire, Yvan Fauth
« Interview de Bruno Markov. »
Emotions Blog littéraire, Yvan Fauth
« Un roman d’une grande puissance narrative qui fera grand bruit lors de cette rentrée littéraire. »
La Fringale culturelle, Yvan Fauth
« On ne lâche pas ce livre. »
L’Usine Nouvelle, Christophe Bys
« Un premier roman habilement mené. »
Viabooks.fr, Olivia Phélip
« Le dernier étage du monde, un roman de Bruno Markov sur les désillusions du Big Data. »
Wukali, Émile Cougut
« Aussi abouti qu’effrayant sur le futur qu’on nous prépare, Le Dernier Étage du monde en dit beaucoup sur les ressorts psychologique de l’être humain à travers le portrait très renseigné d’entreprises où tous les coups sont permis. »
Babelio, Nicolas Hecht
France Culture
« Le Meilleur des mondes », François Saltiel
RTBF
« Littérature », Christine Pinchart : « Un premier roman percutant. »
FranceInfo
« Le conseil de lecture de l’été de Bruno Markov », Cécile Ribault-Caillol
RCF Limousin
« Cultur’L », Erika Defaye : « Un premier roman trépidant, captivant, qu’on ne lâche pas. » (émission du 11 septembre, à partir de 25 minutes.)
La Première
« La Première », présentation du livre de Bruno Markov sélectionné pour le Prix Première