L’Affranchie de Montmartre
Jean-Paul Delfino
Femme libre et farouchement indépendante, elle se lance elle-même dans la peinture et devient la première femme admise à la Société Nationale de Beaux-Arts. Elle est la mère de Maurice Utrillo.
Le roman la cueille à la fin de sa carrière, bien après la brouille avec son fils. Entre l’absinthe, le tabac, un jeune amant qui la couve (Gazi le Tatar, de trente-cinq ans son cadet), Francis Carco qui veut écrire sa biographie et l’efflorescence trouble de ses souvenirs, Suzanne se raconte. Entre vérité et légende, l’histoire d’une femme libre à en mourir. Les mille vies de Suzanne l’insoumise.
Istya & Cie
« C’est le portrait survolté d’une révolutionnaire que brosse l’auteur dans un style crépitant. »
L’Obs, Claire Julliard
« Peintre révolutionnaire, Suzanne Valadon dut s’imposer dans le monde misogyne des artistes, qui tardèrent à reconnaître son talent. Sa vie fut un combat, et Jean-Paul Delfino lui rend le plus beau des hommages, alors qu’une rétrospective de son œuvre s’ouvrira à Beaubourg à partir de janvier prochain. »
Psychologies, Ariane Bois
« Un roman rythmé et riche en dialogues au langage fleuri. »
L’Oeil, Marie Zawisza
« Longtemps, elle fut le modèle d’Auguste Renoir, la maîtresse d’Erik Satie, le grand amour d’Henri de Toulouse-Lautrec, la muse d’Edgar Degas et, surtout, la mère de Maurice Utrillo. »
Le Journal des Arts, Marie Zawisza
« Un érudition qui séduit, voire envoûte. »
La Provence, Jean-Rémi Barland
« L’un des livres les plus prenants de cette rentrée littéraire. »
La Marseillaise, Anne-Marie Mitchell
« Ainsi grandit la stature de Valadon à laquelle Jean- Paul Delfino, dans une langue crépitante, adresse le plus palpitant des hommages. »
Le Maine Libre, Frédérique Bréhaut
PRIX
RTS
« Vertigo », Anne-Laure Gannac