La chair du tigre
Zoltán Mayer
Finaliste Prix Athéna de la ville de Saint-Pierre
À douze ans, Luxi Ming quitte Pékin avec sa famille pour s’installer à Nice. Son père est absent ; sa mère, prompte à la mélancolie, aime à jouer les enfants délaissées avec sa propre fille.
Mais Luxi est à part, surdouée et éprise de la langue française. Dans son collège, elle espère échapper aux lourdeurs familiales. D’autant que, dans sa classe, elle s’en est persuadée, elle a une mission à accomplir : purger Jade, ado charismatique, belle et brutale, de sa colère et révéler sa sensibilité.
Mais Jade fait de Luxi son souffre-douleur. L’escalade est rapide et leur drôle de relation devient le feuilleton de la cour de récréation.
Il est vrai que Luxi est exotique aux yeux de ses camarades de par son origine, mais pas seulement… Son monde intérieur est un théâtre enchanté où les grandes questions métaphysiques côtoient les fulgurances esthétiques. Elle est prête à tous les sacrifices pour améliorer le monde. Au risque de s’y perdre.
Éditions Anne Carrière
LH Le Mag, Sean James Rose
RTS
« Vertigo », Anne-Laure Gannac
« Un livre bouleversant. » (À partir de 15′30″)
France Inter, « Une heure en séries », Xavier Leherpeur
« Un livre subtil et très bien écrit. » (À partir de 40′40″)
RCF Limousin, Cultur’L, Bernard Gravelat
« Faire la connaissance de Luxi est un enchantement. »
Libération, Claire Devarrieux
« Un portrait poétique et puissant d’une jeune fille lumineuse et hors du commun. »
Marie-France, Clémence Roux
« Un portrait dérangeant et cruel qui interroge le mal-être adolescent et le harcèlement à l’école. »
Avantages, Nathalie Six
« Un récit précis et poignant. »
Télé 2 semaines, Corinne Calmet
« On retrouve dans le premier roman de Zoltán Mayer une ambiance avec une belle patine, un lustre, on est entre la Chine contemporaine et celle des dynasties. »
Marie-France.fr, Valérie Rodrigue
« Empire du Milieu et âme française. »
Babelio, Nicolas Hecht
« Un livre flamboyant. »
Radio Dunes
« De ce roman se dégage une vraie philosophie de vie et une vraie plénitude dans le bien-être d’où en résulte un vrai optimisme. »