La Bonne Nouvelle
Jean-Baptiste de Froment
Hermine de Larmencour, une châtelaine qui vit dans l’Allier, vient d’enterrer Paul, son mari. Sa vie devrait reprendre son cours agréable et sans surprises quand Bernadette, sa cuisinière, lui apprend la bonne nouvelle : « Monsieur Paul, il est ressuscité ! » Sexagénaire libre et flamboyante, Hermine ne croit pas en Dieu et encore moins aux miracles. Mais le tombeau a été profané et la dépouille de son mari a disparu. Pire, deux jeunes du coin prétendent avoir croisé Paul au restaurant, une rencontre qui les aurait bouleversés.
À mesure que les apparitions du défunt se multiplient, la rumeur enfle et les pèlerins commencent à affluer. Le Vatican missionne le père Benjamin Spark afin de prouver qu’il ne s’agit que d’une mystification. Mme de Larmencour a hâte de laisser derrière elle cette histoire sordide. Ses attentes risquent d’être déçues.
La Bonne Nouvelle est une fable contemporaine qui mêle adroitement suspense et spiritualité. Nombreux sont les ouvrages dissertant sur la nature du Mal. Dans La Bonne Nouvelle, l’auteur nous surprend et nous enchante en s’interrogeant sur la possibilité du Bien.
Éditions Anne Carrière
« Au-delà de l’originalité de son intrigue, le troisième roman de Jean-Baptiste de Froment séduit par son rythme, son humour, sa galerie de personnages baroques et leurs secrets. […] Sous sa plume, le mal comme le bien prennent des visages très humains. Cela donne à ce roman, passant avec brio de la comédie à la noirceur, sa part la plus profonde, lumineuse et émouvante. »
Le Figaro Magazine, Christian Authier
« L’auteur caricature, sans clichés et sans méchanceté mais avec un sens aigu du ridicule des choses, la bourgeoisie mais aussi plus largement la bêtise actuelle. »
Libération, Virginie Bloch-Lainé
« Mais, grand Dieu, y a-t-il vraiment miracle ou mystification ? Enfin, au bout du compte, alléluia, la clé de l’énigme est une révélation ! »
Le Canard enchaîné, Nathalie Peyrebonne
« Un roman très drôle. »
La Tribune, Anna Cabana
« Adroitement mené (le suspense y a sa part) et non dénué d’une dimension comique et grinçante, La Bonne Nouvelle est un roman du vacillement des esprits devant une situation qui défie l’entendement. »
Le Matricule des Anges, Anthony Dufraisse
« En autant de portraits savoureux, l’auteur décortique le processus de fabrication d’un miracle dans une société en quête de transcendance. »
La Vie, Anne Berthod
« Jean-Baptiste de Froment embarque le lecteur dans une enquête rocambolesque aux personnages loufoques. Derrière la pétillante satire de notre époque et de la bourgeoise, on découvre une réflexion inattendue sur ce qu’implique la foi, la manière dont elle peut être dévoyée et aussi déployée. »
Famille Chrétienne, Olivia de Fournas
« Un récit mené d’une plume vive et sûre. »
Sud Ouest, Christophe Lucet
« Ce livre a été lu avec jubilation, mais attention derrière cette farce moderne, se cache subtilité et spiritualité, un conte parfois féroce et cynique où se niche beaucoup d’amour et de surprise. »
20 Minutes, Christian Dorsan
« Une réflexion très poussée sur la religion, les miracles, les croyances, le Bien et le Mal. »
L’Indépendant, Michel Litout
« On s’amuse beaucoup à la lecture de ce roman délicat qui sonne terriblement juste. »
Marie-Claire Belgique, Aurélia Dejond
« Un roman empreint d’humour et de drôlerie. S’ajoutent de la fantaisie et le sens du suspens. Dans cette quête enjouée de spiritualité, le trait est vif. »
La Montagne, Robert Guinot
« Un récit mené d’une plume vive et sûre […], qui se lit d’une traite. »
Sud Ouest, Christophe Lucet
« Il faut absolument lire Jean-Baptiste de Froment. »
Le Royaliste, André Pierre
« Très adroitement menée, mêlant spiritualité et suspense, servie par un style élégant, l’enquête brosse un portrait du monde contemporain – de ses attentes, de ses fragilités, de ses failles – et, sans façon, loin de toute lourdeur, permet de passer de très agréables moments. Une bonne histoire, une jolie plume, un bon roman. »
Corse Matin, Robert Colonna d’Istria
« Le style enjoué de l’auteur fait une fois encore mouche dans ce roman rempli de personnages truculents qui interroge sur le besoin maladif de croire en quelque chose. »
Benzine Magazine, Olivier de Bouty
« Entretien avec Jean-Baptiste de Froment. »
La Presse du Soir, Michel Tagne-Foko
« Un livre étonnant et aux critiques élogieuses. »
La Montagne
« Furent également abordées les questions du bien, du mal et de l’amour, et Jean-Baptiste de Froment cita le dernier roman de La Comédie humaine de Balzac, L’Envers de l’histoire contemporaine , pour expliquer son expression « le complot de la générosité pour lutter contre le mal. »
La Montagne, La rédaction
RCF Limousin
« Cultur’L », Coup de coeur d’Erika (à partir de 20 minutes 40)