Au départ, nous étions quatre
P.E Cayral
Finaliste L’Autre Prix 2022
Une ferme familiale en Bretagne. Les vies s’écoulent sans répit entre terres agricoles et océan. Le père travaille aux champs, la mère tient à ses livres.
Trois frères nés à quelques minutes d’intervalle essaient de tracer leur chemin. Une femme aux élans de guérisseuse passe de l’un à l’autre, selon qu’ils ont besoin d’être sauvés ou qu’ils tiennent à nouveau sur leurs pieds.
Les cycles de la terre, les guerres du monde, le charivari du business, l’amour, la perte de l’amour, le deuil, les fantômes, le hasard, la fratrie pour horizon ou tombeau.
À quelques minutes d’intervalle, ce sont l’ordre, les rôles, les destins qui s’écrivent, et il faut presque une vie, et beaucoup de chaos, pour déjouer les prédestinations et prétendre à renaître.
Éditions Anne Carrière
« Un roman à combustion lente. Une manière de sables mouvants qui avalent le lecteur et le relâchent pantois. L’auteur de ce tour de force, P.E. Cayral, semble déjà d’évidence en pleine possession de ses moyens. »
Le Figaro littéraire, Alexandre Fillon
« L’écriture entrelacée d’alexandrins semble exécuter une valse entre le réel et ce qui l’est moins. P.E. Cayral appuie ce référencement à l’un et au multiple en donnant la parole à chacun des protagonistes, toujours à la première personne comme s’il n’y avait vraiment qu’une seule, même et première voix, comme si ce tour de passe-passe n’était là que pour tester différentes possibilités de vie. »
Libération, Nathalie Agogué
« Toute la réussite de P.E Cayral tient à la manière délicate dont il débusque, derrière ces postures figées, l’ombre portée du quatrième enfant. »
Le Monde des livres, Florence Bouchy
« Au départ, nous étions quatre : retenue et flamboiements. »
Actualitté, Lolita Francoeur
WebTV Culture
« Violent et sensible à la fois, une belle réussite. », Philippe Chauveau
« Un premier roman très réussi. »
Causeur, Samuel Bon
« Ce roman s’impose, d’entrée, par une écriture obsédante, par des métaphores aussi subtiles qu’inattendues, par un style qui jamais ne se relâche et subjugue le lecteur. On s’étonne que ce roman soit le premier de P.E. Cayral. […] Il entrecroise cette succession de séquences avec une maestria qui vous bluffe, vous désarme ou vous bouleverse. »
Le Télégramme, Jean Bothorel
« Un magnifique roman sur la famille, l’amour, l’amitié la vie et la mort. »
Le Progrès, Corinne Maulard
« Le roman nous tient en haleine du début à la fin tant il sait rendre attachants, et vivants, les trois membres de cette fratrie hors pair. »
Lyon Capitale, Corinne Maulard
« P.E Cayral annonce d’emblée une tonalité unique. »